Le Centre d’étude sur l’Évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire (CEPN) est une association à but non lucratif, fondée en 1976, pour évaluer la protection de l’Homme contre les dangers des rayonnements ionisants, sous ses aspects techniques, sanitaires, économiques et sociaux.

Les recherches et les études sont réalisées par un groupe de recherche pluridisciplinaire d’une douzaine de personnes. Le bilan du programme de recherche et d’études est présenté chaque année à un Conseil Scientifique qui émet des recommandations sur l’orientation de ce programme.

Les membres actuels de l’Association sont au nombre de trois : Électricité de France (EDF), l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) et le Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA).

Le Centre d’étude sur l’Évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire (CEPN) est une association à but non lucratif, fondée en 1976, pour évaluer la protection de l’Homme contre les dangers des rayonnements ionisants, sous ses aspects techniques, sanitaires, économiques et sociaux.

Dernières publications

Measurement and Comparison of individual External Doses of High-School Students Living in Japan, France, Poland and Belarus - The "D-Shuttle" Project.

SCHNEIDER T. & al.

Journal of radiological Protection, n° 36, 2016 pp. 49-66

Abstract

Twelve high schools in Japan (of which six are in Fukushima Prefecture), four in France, eight in Poland and two in Belarus cooperated in the measurement and comparison of individual external doses in 2014. In total 216 high-school students and teachers participated in the study. Each participant wore an electronic personal dosimeter ‘D-shuttle’ for two weeks, and kept a journal of his/her whereabouts and activities. The distributions of annual external doses estimated for each region overlap with each other, demonstrating that the personal external individual doses in locations where residence is currently allowed in Fukushima Prefecture and in Belarus are well within the range of estimated annual doses due to the terrestrial background radiation level of other regions/countries.

Résumé

Douze lycées au Japon (dont six sont dans la préfecture de Fukushima), quatre en France, huit en Pologne et deux en Biélorussie ont coopéré à la mesure et la comparaison des doses individuelles externes au cours de l’année 2014. Au total, 216 lycéens et enseignants ont participé à l'étude. Chaque participant portait un dosimètre électronique personnel ‘D- shuttle’ pendant deux semaines, et a tenu un journal de ses activités (durée et lieu). A partir des mesures réalisées, une estimation de la dose externe annuelle a été réalisée. Les distributions de doses externes annuelles estimées pour chaque région montrent que les doses individuelles externes individuelles mesurées dans les lieux où la résidence est actuellement autorisée dans la préfecture de Fukushima et en Biélorussie sont du même ordre de grandeur que les doses annuelles estimées dans les autres régions compte tenu de l’exposition à la radioactivité naturelle.


(A1254)

Expositions / Projets

Vous avez dit Radioprotection ?

Vous avez dit Radioprotection ?

« Vous avez dit Radioprotection ? Histoires de rayons X, de radioactivité… » est une exposition consacrée à la radioprotection, c'est-à-dire à l'ensemble des moyens visant à protéger les travailleurs, la population et l'environnement des effets potentiellement nocifs des rayons X et de la radioactivité.

La robe et le nuage

Robe et Nuage

La robe et le nuage propose au lecteur une plongée dans le monde de la radioactivité qui n'a rien d'un pensum pour physiciens avertis. Bien au contraire, l'ouvrage, destiné au grand public, s'attache à retracer l'histoire des rayons X et de la radioactivité, ainsi que celle de son nécessaire pendant : la radioprotection. Rédigé par un spécialiste français du sujet et une journaliste scientifique, il aide à mieux comprendre la radioactivité, de La robe de Marie Curie au nuage de Tchernobyl.

ETHOS en Biélorussie

ETHOS en Biélorussie

Le projet européen ETHOS avait pour but d’améliorer durablement les conditions de vie des habitants des villages dont la vie quotidienne a été fortement affectée par la présence à long terme de contamination radioactive à la suite de l’accident de Tchernobyl. Il s’agissait d’une nouvelle démarche pluridisciplinaire basée sur une implication forte de la population dans l’évaluation et la gestion du risque radiologique en concertation avec les autorités locales, régionales et nationales et des experts biélorusses.