Le Centre d’étude sur l’Évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire (CEPN) est une association à but non lucratif, fondée en 1976, pour évaluer la protection de l’Homme contre les dangers des rayonnements ionisants, sous ses aspects techniques, sanitaires, économiques et sociaux.

Les recherches et les études sont réalisées par un groupe de recherche pluridisciplinaire d’une douzaine de personnes. Le bilan du programme de recherche et d’études est présenté chaque année à un Conseil Scientifique qui émet des recommandations sur l’orientation de ce programme.

Les membres actuels de l’Association sont au nombre de trois : Électricité de France (EDF), l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) et le Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA).

Le Centre d’étude sur l’Évaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire (CEPN) est une association à but non lucratif, fondée en 1976, pour évaluer la protection de l’Homme contre les dangers des rayonnements ionisants, sous ses aspects techniques, sanitaires, économiques et sociaux.

Dernières publications

Work Management to Optimise Occupational Radiological Protection at Nuclear Power Plants

MIZUMACHI W., SCHIEBER C., AHIER B., et al.

Since 1992, the Information System on Occupational Exposure (ISOE) has provided a forum for radiological protection professionals from nuclear power utilities and national regulatory authorities worldwide to discuss, promote and co-ordinate international co-operative undertakings for the radiological

Synopsis


Since 1992, the Information System on Occupational Exposure (ISOE) has provided a forum for radiological protection professionals from nuclear power utilities and national regulatory authorities worldwide to discuss, promote and co-ordinate international co-operative undertakings for the radiological protection of workers at nuclear power plants. The ISOE objective is to improve occupational exposure management at nuclear power plants by exchanging relevant information, data and experience on methods to optimise occupational radiological protection.

This report on work management provides practical guidance on the application of work management principles as a contribution to the optimisation of occupational radiological protection. It recognises that while work management is no longer a new concept, continued efforts are needed to ensure that good performance, outcomes and trends are maintained in the face of current and future challenges. The focus of this report is therefore on presenting the key aspects of work management that should be considered by management and workers to save time, doses and money, supported by updated practical examples from within the ISOE community.


Résumé

Ce rapport a été élaboré par un groupe de travail spécifique du réseau ISOE (Information System on Occupationnal Exposure). Le but de ce rapport est de présenter les aspects essentiels de l’organisation du travail qui doivent être pris en compte par les managers et leurs équipes pour optimiser la radioprotection.

L’organisation du travail, telle que présentée dans ce rapport, est une méthodologie globale qui souligne l’importance de gérer de façon globale les travaux, de la planification au suivi, en utilisant une approche d’équipe pluridisciplinaire qui fait participer toutes les parties prenantes. Les facteurs importants pour l’optimisation de la radioprotection sont les mesures, méthodes et techniques qui influent sur :

  • la dose et le débit de dose, y compris la réduction du terme source,
  • l’exposition, y compris le temps passé dans les zones contrôlées pour les travaux d’intervention, de maintenance, d’inspection et de réparation,
  • l’efficacité de la planification des travaux, y compris la planification à court et à long terme, l’implication des travailleurs, la coordination des activités, la formation et l’information.

Sur la base de l’expérience opérationnelle au sein du réseau ISOE ce rapport fournit des conseils pratiques concernant notamment :

  • les aspects réglementaires,
  • la politique de gestion ALARA,
  • l’implication et la performance des travailleurs,
  • la planification et la programmation des travaux,
  • la préparation des travaux,
  • la mise en œuvre des travaux et
  • l’évaluation du travail et le retour d’expérience.

Les aspects spécifiques de l’organisation du travail applicables à chacun de ces domaines sont illustrés par des exemples et des études de cas issus de l’expérience d’ISOE. Les sujets et exemples pratiques présentés sont destinés à fournir à toutes les personnes concernées par l’organisation du travail une expérience pertinente sur les bonnes pratiques de mise en œuvre des initiatives d’organisation du travail visant à optimiser la radioprotection professionnelle dans l’industrie électronucléaire.

OECD/NEA Report N° 6399, 2009. (A1073)

Téléchargez le rapport sur le site de l'AEN

Expositions / Projets

Vous avez dit Radioprotection ?

Vous avez dit Radioprotection ?

« Vous avez dit Radioprotection ? Histoires de rayons X, de radioactivité… » est une exposition consacrée à la radioprotection, c'est-à-dire à l'ensemble des moyens visant à protéger les travailleurs, la population et l'environnement des effets potentiellement nocifs des rayons X et de la radioactivité.

La robe et le nuage

Robe et Nuage

La robe et le nuage propose au lecteur une plongée dans le monde de la radioactivité qui n'a rien d'un pensum pour physiciens avertis. Bien au contraire, l'ouvrage, destiné au grand public, s'attache à retracer l'histoire des rayons X et de la radioactivité, ainsi que celle de son nécessaire pendant : la radioprotection. Rédigé par un spécialiste français du sujet et une journaliste scientifique, il aide à mieux comprendre la radioactivité, de La robe de Marie Curie au nuage de Tchernobyl.

ETHOS en Biélorussie

ETHOS en Biélorussie

Le projet européen ETHOS avait pour but d’améliorer durablement les conditions de vie des habitants des villages dont la vie quotidienne a été fortement affectée par la présence à long terme de contamination radioactive à la suite de l’accident de Tchernobyl. Il s’agissait d’une nouvelle démarche pluridisciplinaire basée sur une implication forte de la population dans l’évaluation et la gestion du risque radiologique en concertation avec les autorités locales, régionales et nationales et des experts biélorusses.